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Besançon
Capitale de la Franche-Comté



Quelques chiffres de 2006
Plan de la ville (cliquer pour agrandir)
Population
Région Franche-Comté : 1 158 000 habitants
Département du Doubs : 515 000 habitants
Grand Besançon (
59 communes) : 175 000 habitants
Besançon : 122 300 habitants

La population active bisontine
52 190 personnes sur différents secteurs d’activité :
  • tertiaire : 83,8 %
  • industrie : 13 %
  • construction : 2,8 %
  • agriculture : 0,4 %



Les Changements dans notre ville

Le Cinéma Marché Beaux-Arts au centre-ville
La rocade
Le réseau de transport en commun "Ginko"
La nouvelle préfecture administrative
La city (bureaux, banque, hôtel, restaurant et Centre de Langues Etrangères)
Le tunnel sous la citadelle
La nouvelle Faculté de Médecine
La nouvelle place du marché (en cours de réalisation)
L'îlot Pasteur (prochainement)





Besançon, en bref...

Pôle d’excellence
La ville a été pendant longtemps la capitale mondiale de l’horlogerie.
Durement concurrencée, cette activité a fortement décliné, mais Besançon reste un centre industriel spécialisé dans la micromécanique ainsi que dans l’agroalimentaire. Également centre tertiaire régional, la ville accueille l’École nationale supérieure de mécanique et des microtechniques, ainsi que l’université de Franche-Comté.


Ville universitaire

Besançon compte 22 700 étudiants dont 17 500 inscrits à l’Université et 580 élèves-ingénieurs à l’Ecole Nationale Supérieure de Mécanique et de Microtechniques (ENSMM).
Plus de de 2400 stagiaires français ou étrangers sont accueillis chaque année par le Centre de Linguistique Appliquée (CLA),
spécialisé dans l’apprentissage intensif des langues.

Ville verte
Entre collines boisées, forêts, parcs et jardins, Besançon, offre un cadre de vie exceptionnel à ses habitants.
Avec ses 2 400 hectares d’espaces verts dont 2024 hectares de forêts, incomparable réservoir de bien-être et d’oxygène, elle est régulièrement classée dans le palmarès des villes où il fait bon vivre.


Ville numérique
L'opération "Besançon.Clic" consiste en la distribution d'un pack informatique contenant un ordinateur et des logiciels éducatifs aux enfants scolarisées au CE2 à Besançon.
Depuis 1999, chaque enfant scolarisé dans les écoles municipales travaille sur un ordinateur multimédia et accède à Internet dans son établissement. En 2004, des ordinateurs ont été également installés dans les classes maternelles.
Depuis 2002, un pack informatique composé d'un ordinateur, des mêmes logiciels éducatifs qu'à l'école, d'une participation forfaitaire à un abonnement Internet et de 12 heures de formation gratuite pour les parents est offert par la Ville de Besançon.




Besançon, Cité historique

Dans la guerre des Gaules, Jules César cite Vesontio, première appellation officielle de Besançon.
Au IVe siècle, un B remplace le V de Vesontio, le nom de la ville devient Besontion ou Bisontion, puis subit plusieurs transformations pour donner Besançon en 1243.
Les recherches sur l’origine du nom de la ville ont donné naissance à diverses interprétations, mais aucune ne s’impose avec certitude. Besançon s’inscrit dans un site particulièrement remarquable : une boucle formée par un méandre du Doubs et fermée par une colline où est bâtie la citadelle de Vauban.
Ce site constitue une position stratégique exceptionnelle dont l’importance défensive est remarquée par Jules César, qui l’investit en 58 avant Jésus-Christ.
Dès l’époque romaine, dans la boucle, la plupart des édifices s’installent le long de l’axe principal, le cardo (actuelle Grande Rue), dont le tracé conduit de la Porte Noire au pont Battant.
A l’époque gauloise, la rivière semble avoir été une barrière suffisante pour assurer la protection de la cité, dont l’accès se faisait vraisemblablement par un gué, situé à l’emplacement de l’actuel pont Battant. Puis les romains construisent le pont Battant, qui sera le seul point de passage sur la rivière jusqu’à la mise en place de la passerelle de Bregille à la fin du XVIIe siècle. Du Moyen Âge à la conquête française de 1674, le développement des quartiers se fait à partir de ce point stratégique.
Après la conquête française, Vauban fait édifier les casernes et reconstruire la citadelle et les fortifications.
Après la conquête de Louis XIV, l’importance stratégique de Besançon et son essor démographique lui permettent d’accéder au statut de capitale provinciale.
Vauban fait édifier la citadelle, des casernes et reconstruit les fortifications.
Depuis, Besançon à vu naitre Victor Hugo, Charles Fourier et les frères Lumière...




Besançon, Sites et monuments

La Citadelle
C'est un chef-d'oeuvre militaire du XVIIe siècle, construit par Vauban pour Louis XIV. Erigée sur l'une des sept collines qui forment les protections naturelles de la capitale de la Franche-Comté, la Citadelle raconte l'histoire de la ville et en symbolise le caractère. Elle a rempli différents rôles au cours des siècles : forteresse militaire, caserne et prison. Elle offre un belvédère grandiose sur Besançon et ses environs. Au sein de la forteresse, elle présente aujourd'hui sur plus de 10 hectares : le musée comtois, ethnographie régionale, arts et traditions populaires, le musée de la Résistance et de la Déportation, le musée d'Histoire Naturelle, son aquarium, son insectarium, son parc zoologique, des expositions temporaires, scientifiques ou historiques...

Le Musée des Beaux Arts et d'Archéologie
Ce musée, datant de 1694, est situé place de la Révolution, en plein centre de Besançon, dans la boucle du doubs. Il constitue l'une des plus ancienne collection publique de France.

L'hôpital Saint Jacques
Sa construction commença en 1686 et fut entièrement achevée en 1707. Cet édifice est remarquable par la beauté de ses bâtiments et de sa grille. Cet hôpital fut créé de manière très fonctionnelle afin de contribuer à l'agrément et à la salubrité.

L'Eglise Saint Pierre
Elle se situe à proximité de l'hôtel de ville sur l'actuelle place du 8 septembre. L'église actuelle, édifiée selon les plans de l'architecte Bertrand, n'a été achevée qu'en 1784.

L'Opéra Théâtre
Claude Nicolas Ledoux, architecte de la fameuse Saline Royale d'Arc-et-Senans, donna à Besançon son théâtre. Sa forme est en demi-cercle et l'avant scène étant très ouverte, il n'y a pas une place d'où l'on ne puisse apercevoir les comédiens. Plusieurs modifications ont été apportées récemment au théâtre, tel que le plafond, restauré par M. Delestre.

L'église de la Madeleine
Située à la sortie du pont Battant, dans la rue d'arène, cette église, détruite et réparée plusieurs fois, fut restaurée par Hugues Ier au XIème siècle et subsista jusqu'à l'année 1784. L'église de la Madeleine est facilement reconnaissable par ces deux tours d'égale hauteur et de forme semblable. C'est d'ailleurs ses vastes proportions qui font de celle-ci un monument remarquable. C'est l'archevêque Antoine-Pierre de Grammont qui posa la première pierre de la Madeleine le 26 mai 1746. Sa longueur et de 66 mètres et sa largeur de 39.

La cathédrale Saint-Jean
Située entre la porte Noire et la citadelle, cette cathédrale construite au XIIème siècle, longue d'environ 75 mètres, fut conçue sur des plans nettement plus vastes que celle qui l'avait précédé. Elle bénéficie d'une remarquable originalité de son parti architectural.

La porte Noire
Située entre la citadelle et le square castan, la porte Noire est un monument romain, sans doute le plus prestigieux. Ce n'est en fait pas une porte mais un arc triomphal ou honorifique. Cet arc représente en fait la grandeur de Rome. La porte Noire a été construite dans la pierre dite de "vergene", commune d'Avigney en Haute-Saône, comme la plupart des monuments gallo-romains de Vesontio. Cette pierre permet de fine sculpture, mais elle résiste également très mal au temps, d'où le mauvais état de conservation de la porte. La porte mesurait à l'origine 16.56 mètres de haut, c'est à dire un mètre de plus qu'actuellement.

Le square Castan
Proche de la porte Noire, cet ensemble archéologique fut déjà signalé aux XVII et XVIII ème siècle, puis fouillé au XIX ème siècle par A. Castan. Il
contient des vestiges gallo-romains, notamment ceux d’un arc de triomphe et d’un amphithéâtre et voulait y voir le théâtre antique de Vesontio, mais il s'agissait en fait d'un hémicycle.

Palais Granvelle
Situé au 96 Grande Rue. Nicolas Perrenot de Granvelle, chancelier et principal ministre de Charles Quint, choisi la grande rue pour construire son palazzo, étant le premier à introduire la renaissance à Besançon. Dans la cour de ce palais, nous retrouvons de nombreux éléments de la Renaissance. Notamment des arcs qui ici, ne sont pas en plein cintre mais surbaissé en anse de panier. La décoration du palais est extrêmement riche : les fenêtres en font partie. Mais rien ne surpasse l'élégance de la porte d'entrée. La façade est pratiquement entièrement composée de marbre poli. C'est dans ce Palais que Louis XVI séjourna avec la reine en 1683 lorsqu'il vint à Besançon. Le palais Granvelle brille par sa relative simplicité et une incontestable noblesse. Il abrite aujourd'hui le Musée du Temps.

Fort de Bregille
Le Fort de Bregille est situé en pleine nature sur une des collines dominant le centre de la ville de Besançon. Situé sur la commune de Chalezeule, ce fort a été construit de 1820 à 1832. Ce fut un des tout premiers forts de l'après Vauban.

Fort de Chaudanne
Le fort de Chaudanne surplombe le vieux centre de Besançon et fait face à la citadelle. Actuellement en rénovation, il est interdit au public. Sur le bâtiment principal, on trouve trois cadrans solaires. Le premier et le plus grand est un cadran déclinant de l'après-midi, très abîmé. De chaque coté du bâtiment se trouvent un cadran polaire (un orienté sud-est, l'autre nord-ouest). Ces cadrans datent de 1844.




Besançon et les transports en commun

Un réseau qui favorise les liens entre les communes du Grand Besançon
Depuis la mise en place du réseau de transport en public GINKO en 2001, l’ensemble des habitants de l’agglomération bénéficie des mêmes services aux mêmes prix.

Le réseau GINKO en quelques chiffres :
59 communes desservies soit 170 690 habitants
48 lignes différentes et 846 stations sur l’agglomération
624 points d’arrêt sur Besançon et 224 en périphérie
164 bus urbains tous équipé du GPS (Global Positioning System)
280 bus dont ¼ au GNV (Gaz Naturel de Ville)
1 tarif unique pour tous (ticket)
4 pôles d’échange




 Quelques photos :
(passer votre souris sur les images pour le descriptif et cliquer pour agrandir!)

















Photos d'Alexis








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